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Dec
28
HAKEM BACHIR
FÉLICITATIONS AUX BUREAUX DE WILAYAS DE MILLA ET SAIDA INSTALLES OFFICIELLEMENT .VIVE LE SNAPEST ET BONNE CHANCE A TOUS LES BUREAUX DE WILAYAS INSTALLES OFFICIELLEMENT ET QUE LES BUREAUX DE WILAYAS RESTANTS FINALISENT LEUR TRAVAIL .NOTRE SYNDICAT VIENT DE CONFIRMER LA FABLE DE LA FONTAINE :"RIEN NE SERT DE COURIR IL FAUT PARTIR A POINT"
"ON PEUT MENTIR UNE FOIS , DEUX FOIS , MAIS ON NE PEUT MENTIR TOUT LE TEMPS CAR LA VÉRITÉ ÉCLATERA ET LES PEST NE SONT PAS DUPES".
Dec
24
pes
عام جديد سعيد 2011 ... تهنئة لكل العاصفيين بمناسبة اقبال العام الجديد

نحن نودع عآم" 2010" ونستعد لآستقبآل عآم
جديد . ./ 2011 . .
بقيت آيآم قلائل ويرحل هذآ آلعآم بكل مآ حدث فيه من لحظآت . .
سعيدة كآنت آو حزينه
آلتقينآ . . وآفترقنآ . .
تعآهدنآ . . وتوآعدنآ . .
وسوف تصبح >> آلذكرى<<
في عقولنآ وقلوبنآ . . ولن ترحل .

فـ آلسنين
بـآلآحبآء آثمــن . .

ويكفي آن نحمل معآ
آبتسامة
لنفس>> آلـذكــرى<<
تنقذنآ آحيآنآ من آلوحده !
لتجمل ملآمحنآ . .

عام بعد عام تمضي بنا الحياه
وعند نهاية كل عام وبدايه عام جديد
نودع العام الفائت بحزن
ونستقبل العام الجديد بسعاده وامنيات
كثيييييره
بعضها يتحقق والبعض الاخر يبقى امنيات

حقيقة !!

. . .

ومن آعمق نقطة صفآء في روحي . . آقول لكم :

شكرآ . .
على صدآقتكم

شكرآ . .

على ودكم

شكرآ . .

لكل من ظلمني.. بقصد.. أو بدون قصد

شكرآ . .

على آوقآت فرح قضيتهآ معكم هزمت آحزآني وآنتم لآ تدرون

شكرآ

. .

على وجودكم آلى جآنبي دومآ . .

وآصدق آلآمنيآت لكم بـ آجمل آلآيآم . .

وبنهآية هذآ آلشهر . .

سوف تنطوي صفحته . .

وقبل آن تطوى

آقول لكم

. . .

آن آغلى هدية قدمتهآ لي آلدنيآ هي معرفتكم ومعرفة قلوبكم آلطيبه

فشكرآ لكم ولهآ ...{

وعذرآ . . . آن قصرت في حق شخص منكم آو آخطآت . . . . !
عذرآ لقلوب آحبتني لآ آعلم آهي رآضية عني . . آم سآخطة علي لفعل جهلته آو تقصير تمآديت به ؟
فهآ آنآ آعيد للقلوب صفائها . . . ! !
( عذرآ ) من آلقلب لكل آلقلوب آلتي آحبتني وآحببتهآ . ..

و في الختام :

اتمنى للجميع ان يكون العام الجديد

2011
عام خير وبركه ..

اقبلوها مني تهنئة أولى ...

صديقتكم ومحبتكم

فتووون
Dec
22
HAKEM BACHIR
C'est avec beaucoup de tristesse que nous avons appris le décès du père de notre collègue et ami KHIAT MAHIEDDINE membre du bureau de wilaya de la wilaya de CONSTANTINE.
Nous lui présentons ainsi qu'à toute sa famille nos sincères condoléances et implorons ALLAH LE MISERICORDIEUX QU'IL l'accueille dans SON VASTE PARADIS.
Dec
17
rouani
hommage a redouane osmane /el kettar a 10 h ce matin malgré ce froid glacial qui traverse alger
ils sont venus auj les camarades de l anadde bagedadi et du pld moulay du snapest djamel des amis du cla du pst mahmoud ses parents khalti sadjia sa mere "ammi... ali " son pere...et ses soeurs nous avons tenus a etre la pour marquer ce jour
achour idir du cla a bien dit pe...ut etre que tu es parti mais tu es tjs parmis nous
tes leçons de lutte nous servent tjs
lemdani syndicaliste et un camarade de lutte dira juste merci aux parents de redouane et courage a tous nous avons fait un chemin de lutte ensemle redouane se battait pour les demunis et la juste cause
mahmoud rachedi du pst nous a bien devoilé que 26 ans de lutte a coté de osmane et toutes ces luttes auj dans le monde sont tjs et ont ete un point de depart de redouane
chapeau a lila hassiba zineb zouina naima mohamed zoubir bagedadi mohamed et mahmoud idir moulay les autres merci detre la ce jour
djamel/dusnapest alger le 17.12.2010
Dec
17
ABDELBASSAT BOULENOU
Bonsoir ;

Je pense que les résolutions que vous aves proposé (associations, formations, débats &hellip sont très conseillés pour ce type projet, mais il faut les développer dans un réseau ce qui va permettre de définir les plans d’action et de les entités concernés.

Il faut réagir dans le contexte actuelle, on sait bien que la moyenne de la lecture en Algérie est de ¼ feuille par an et il ya un nombre considérable de gens qui ne croient pas aux associations et aux actions des buts non lucratives (l’exemple qui nous a donné Farouk), Honnêtement, je pense que le simple fait de la création des associations et d’appeler les gens à adhérer ne portera pas les attentes prévues, il faut toucher l’algérien dans son quotidien ! L’Enfant, la télé l’implication des artistes, la musique … on peut les utiliser pour bouger l’esprit au premier temps après on peu passer au actions plus académiques.

On a constaté que la difficulté est située au début ; notre début doit mettre en évidence le mode de vie et la mentalité actuelle au cœur d’action.

Je pense à un plan d’action directe avec des résultats rapides en gagnant du temps et en faisant une préparation idéale pour les résolutions à longue terme.

Ce plan qui basé 3 éléments (vous devez ajouter d’autre éléments) :

Ecole - média - société

Ecole :

A l’école moyenne, on a une matière enseigné qui s’appelle « éducation civile », elle est reparti sous un développent des concepts sur 4 an, la manière dont elle est enseigner actuellement est de type copier*coller…

L’idée est de la création d’un espace virtuel « citoyenneté » dans un collège pilote à Alger au début , la participation active de chaque élève est comptée comme devoir de cette matière, il sera modérer par des spécialistes de l’éducation ,l’espace doit être généraliser dans toutes les régions ( la majorité des collèges ont accès au TIC ), l’espace va avoir place dans le premier collège de chaque wilaya ce qui va donner un double résultat, effectivement son fonctionnement doit avoir place en collaboration avec le ministère de l’éducation nationale.

Média :

La décennie noire a laissé beaucoup de mal en Algérie, ajoutant les difficultés économiques et de vie en générale, les algériens ont perdu leur chaleur, leur générosité et la confiance en eux… L’idée est d’instaurer les valeurs de la société et consolider les actions solidaires

C’est la production d’une série télévisée « solidarité malgré tout », le contenu est d’aider une famille pauvre qui a un logement indécent par exemple à rénover sa maison, avec l’aides des bénévoles, des menuisiers, des plombiers, des étudiants…

La surprise sera multipliée ! Une personnalité artistique ou sportives donnera les clés à la famille, je suis sur que les algériens vont faire comme leurs stars (souvenez-vous de la coupe de cheveux de chaouchi ?), cette série va être réalisé avec la coopération de ENTV et les associations de solidarités.

Société :

L’idée est de créer une association ou un organisme « familles d’accueils », le but de cette association et d’échanger les enfants entre les familles en périodes de vacances, l’association va s’occuper de cadre disciplinaire er organisationnel, personnellement je connais plusieurs familles qui veulent faire ça mais il n’existe pas un organisme spécialisé, le fonctionnement est simple il faut juste une régulation administrative.

Je vous invite à partager vos avis et remarques pour développer ces idées.
Dec
16
kadour aek sba
je suis un pet qui veut integrer le snapest comment pourrai-je faire ?je crois que c'est le seul syndicat qui a pris en charge l'enseignement technique les autres j'en suis deçu
Dec
16
AOUS MOHAMED
اثر المصاب الجلل الذي حل بعائلة السيد حمادوش نبيل ممثل السنابست في البويرة اتقدم باسمي ونيابة عن زملائي بتعازي الخالصة راجيا من المولى عز و جل ان يتغمد الفقيد برحمته الواسعة و يلهم ذويه الصبر و السلوان انا لله وانا اليه راجعون
Dec
16
le quotidien2
PREPARER LA CLASSE: La préparation de la classe se fait habituellement en dehors des heures de classe, bien que des réajustements se fassent en cours de travail. Cette préparation consiste non seulement à planifier les enseignements, à choisir les dispositifs, les tâches pour chacun des domaines d'activité, les supports pédagogiques nécessaires….mais elle concerne également l'organisation matérielle de la classe, l'aménagement des divers lieux de vie et de travail et aussi les affichages. On peut distinguer:

1-l'organisation matérielle (emplacement des tables, lieux de rangement des travaux, des jeux, des supports pédagogiques, documents, outils).

2- L'organisation temporelle (planification des enseignements, emploi du temps).

3- La planification des disciplines (sur l'année, le trimestre, le mois, la semaine). (organisation annuelle, mensuelle, hebdomadaire).

Pour l'aider, l'enseignant a à sa disposition plusieurs outils: les textes officiels (programmes, livrets d'accompagnement, guides du maître, livrets d'application des programmes, livrets d'aide à l'évaluation…etc.); de nombreuses revues pédagogiques, des manuels, les recherches en éducation, en didactique et à présent, les logiciels, les sites sur Internet particulièrement florissants. Face à cette abondance de diverses natures, l'enseignant doit développer son esprit critique pour trier dans la profusion de documents qu'il rencontre ceux qui méritent son attention car tous ne sont pas de qualité, loin s'en faut. De plus, il faut garder à l'esprit que les outils, supports, dispositifs, n'ont pas de vertu en eux-mêmes, ils ne sont que des supports qui prennent sens par l'usage qu'on en fait.

PRENDRE LA CLASSE: sous ce terme de «prendre la classe», on entend plus particulièrement le mode de gestion du groupe d'élèves, tout ce qui concerne «la discipline» puis dans le sens comportemental. La question de la discipline scolaire est fréquemment évoquée par les enseignants comme un préalable nécessaire aux apprentissages et difficile à installer. C'est ce qui préoccupe le plus les débutants, comment faire pour «tenir la classe»? Le problème des incivilités, le non respect des règles, de la violence (voir l'article paru au «Quotidien d'Oran» le 27-05-2009), n'est pas un phénomène scolaire; c'est devenu une préoccupation sociale et nationale amplement relayée par les médias. Pour autant, on constate que le respect des règles de vie en communauté passe d'abord par un respect réciproque des personnes, entre adultes et élèves. Viennent ensuite divers modes de gestion qui, pour être efficaces, s'appuient souvent sur un processus de ritualisation. Il ne faut pas comprendre la ritualisation au sens restreint, c'est-à-dire la concevoir comme une simple répétition avec régularité de certaines pratiques. Dans mes propos, la ritualisation revêt un caractère plus complexe comme on peut l'appréhender par cette définition: c'est un système codifié de pratiques, sous certaines conditions de lieu et de temps, ayant un sens vécu et une valeur symbolique pour ses acteurs et ses témoins, en impliquant la mise en jeu du corps et un certain rapport au sacré».

Ritualiser, c'est donc inscrire dans un contexte particulier, des comportements collectivement partagés qui acquièrent du sens parce qu'ils instaurent les conditions d'accès aux objets de savoir. A l'école, le caractère sacré se traduit par le rapport aux savoirs et aux valeurs. La ritualisation concerne le sens donné aux pratiques qui remplissent plusieurs fonctions:

1- Une fonction chronogénétique relative à l'avancée du savoir dans la classe.

2- Une fonction topogénétique relative à la délimitation des places de chacun des élèves dans le rapport à ce savoir et aux processus de construction dont il fait l'objet.

3- Une fonction contractuelle et une fonction intégrative; elles permettent l'instauration de la relation didactique (qui lie le maître, les élèves et le savoir) ainsi que l'appropriation des connaissances dans un collectif de travail, au sein duquel se construit une mémoire qui structure l'action des élèves et rend possible l'acquisition de routines.

La ritualisation contribue à l'apprentissage du métier d'élève par la fréquentation du savoir par des activités scolaires liées au mode de son traitement.

Les rituels proposent aux élèves un cadre stable et repérable, ils introduisent un sentiment de sécurité, réduisent l'incertitude, délimitent ce qui de l'ordre public et du privé, assignent les places, codifient les comportements; ils soudent la communauté, définissent une identité scolaire. Ils assurent la continuité entre l'acte et l'intention, ils signifient la rencontre avec des valeurs. Les rituels se vivent d'abord par le corps car c'est dans le «faire» que se découvre la règle; ils permettent d'apprendre le métier d'élève.

Quels types d'activités peuvent se ritualiser assez aisément? On peut en identifier quelques uns des plus usuels:

1- Dans la cour, la mise en rang, l'accueil.

2- Le salut au drapeau (l'hymne national).

3- L'entrée en classe.

4- La présentation de chacun, le rôle du maître, des élèves.

5- Les coutumes à installer: règles, exigences, posturales (debout, assis, quand?...).

6- Le statut de la parole, des déplacements en classe….

FAIRE LA CLASSE: faire la classe est étroitement lié aux deux autres dimensions du métier déjà évoquées: préparer et prendre la classe. Ici, il s'agit plus particulièrement des moments où le travail du maître est le plus visible lorsqu' on observe une journée de classe. Il n'y a pas de priorité ou d'ordre entre ces trois dimensions; elles sont imbriquées: bien préparer sa classe ne garantit pas de bien la faire, mais c'est nécessaire comme c'est nécessaire une prise en main de la classe.

Plusieurs moments sont à considérer:

1- présenter le travail à accomplir.

2- Contextualiser la situation d'apprentissage (prendre appui sur la mémoire didactique, rappel des séances précédentes, permettre aux élèves de se placer dans le bon registre de la connaissance, le bon «domaine d'activité».

3- Mettre en place la situation d'apprentissage; organiser le milieu de travail (humain, matériel, temporel, spatial…).

4- Mettre au travail l'élève, lui donner la consigne.

5- Installer une dynamique: alterner travail individuel/collectif, manipulations, conceptualisation.

6- Gérer le travail d'apprentissage; maintenir l'attention, étayer les efforts, instaurer les interactions, faire des relances au bon moment.

7- Evaluer.
8- Clore la séance; revenir sur les objectifs du début de la séance et faire également un ancrage dans le futur.

Un observateur non averti ne peut saisir toutes ces dimensions du travail d'enseignant.

Cette présentation permet d'en identifier les principaux aspects et de pouvoir les analyser. Cependant, il ne faut pas se limiter au seul travail de classe pour comprendre l'ampleur et les enjeux de ce métier.

Les autres paragraphes; le cadre réglementaire, les courants pédagogiques, la polyvalence du métier, les relations avec l'inspectorat, avec les partenaires et l'équipe pédagogique permettent également d'en saisir toute la complexité.

Si enseigner c'est faire des choix, ces derniers sont généralement vus sous l'angle du sens en sous-estimant la nécessité dans laquelle se trouve l'enseignant, de trouver des solutions efficientes pour organiser le travail des élèves. Il construit ainsi une pratique qui est issue d'expériences diverses dans différents milieux, d'emprunts à des collègues, à des théories… c'est de cette manière que l'enseignant façonne son propre «style» pédagogique qui participe d'un «genre» commun: enseignant d'école primaire.

NB: La liberté pédagogique:

Il reste à souligner que l'enseignant doit se conformer aux instructions officielles; il est de son devoir de respecter les programmes et faire en sorte que les objectifs d'apprentissage soient atteints par tous les élèves de sa classe. Il reste, toutefois, libre de ses choix pédagogiques. Il peut en effet choisir les démarches d'apprentissage qu'il estime les mieux adaptées à ses élèves et aux contenus, à condition que les objectifs définis par les textes soient atteints et que les exigences d'éthique et déontologie soient préservées: il appartient aux enseignants de choisir la voie qui conduit efficacement tous les élèves à toutes les compétences fixées par les programmes.

Toutefois, l'enseignant doit se documenter et se tenir au courant des recherches en didactiques et en pédagogie. De même, il tirera profit des recommandations notées dans les textes officiels, notamment dans les nouveaux programmes.
Dec
16
le quotidien
Enseigner: un métier, une conviction ?

par Hennouni Ali *
On sait que Freud tenait l'éducation pour un métier impossible. Sans doute, mais tous les enseignants s'accordent, néanmoins à dire que c'est aussi un métier passionnant.

Enseigner ; un métier, une conviction. Devenir enseignant, c'est entrer dans un service public (l'Education nationale), en qualité de fonctionnaire. Le service public est une activité d'intérêt général, régie par des principes et des règles. De ce fait, le fonctionnaire est investi d'un rôle social; il est au service de tous pour assurer les missions attachées à sa profession, dans le respect des règles et des valeurs de la République.

L'enseignant, en sa qualité de fonctionnaire de l'Etat, est soumis au statut particulier de son corps d'appartenance. Cependant, à côté des règles de fonctionnement, il faut préciser que l'exercice de ce métier repose principalement sur des valeurs, celles de la République mais également sur une conception déontologique du métier. L'enseignant est rémunéré par l'Etat ; les APC (baladias) ont en charge la construction, l'équipement, l'entretien des écoles primaires, l'achat du matériel et des fournitures à usage collectif ainsi que le recrutement et la rémunération des agents de l'APC affectés aux écoles (les gardiens par exemple).

L'école a pour mission d'instruire et d'éduquer:

Instruire, c'est transmettre des connaissances. Pour cela, l'enseignant doit connaître les programmes et les textes fondamentaux, maîtriser les contenus disciplinaires et leurs modes de transmission (la didactique). Cependant, la finalité de l'instruction s'inscrit dans une perspective plus large, à visée éducative: instruire, c'est aussi former le jugement et cultiver l'esprit.

Eduquer; c'est créer les conditions permettant à chaque élève de développer ses aptitudes, sa personnalité, son autonomie ; c'est l'aider à s'insérer dans la société, à développer son esprit critique, à construire sa citoyenneté en respectant les valeurs de la culture républicaine qui permet la vie en commun et l'accès à la connaissance.

Eduquer, c'est conduire un enfant vers la vie, vers l'autonomie, ce qui ne se conçoit pas en dehors du cadre de la citoyenneté : l'enseignant doit respecter les principes des institutions républicaines car il éduque au sein d'un système dont il doit respecter les règles.

Qui est cet enseignant ? Quel est son métier ?

Enseigner; un métier, une mission ou un sacerdoce ?

Le métier d'enseignant ne se résume pas à mettre en œuvre une pédagogie préconstruite qu'il suffirait d'appliquer en classe pour que les élèves apprennent. L'enseignant doit faire des choix pour adopter ses pratiques aux particularités du contexte scolaire toujours différent d'une année sur l'autre, d'un moment à l'autre, d'un contenu de savoir à l'autre.

Dans le domaine des apprentissages scolaires, l'attention se focalise le plus souvent sur la réussite ou non des élèves, sans que se pose la question des choix que doit faire en permanence l'enseignant et des dilemmes qui l'assaillent. L'objectif prioritaire de l'enseignant est de mettre en place un cadre fonctionnel pour faire la classe et donner du sens aux apprentissages.

L'opacité des gestes du métier: les processus qui constituent la face immergée de la compétence des élèves et des maîtres échappent souvent au regard extérieur, comme à celui des enseignants eux-mêmes qui façonnent pourtant quotidiennement le cadre, les dispositifs et les situations qui permettent leur développement.

Mais il n'y a aucun paradoxe, tant il est vrai que le caractère automatisé de ces pratiques courantes finit par les rendre invisibles. Du coup, ce qui se dérobe aussi à la conscience des enseignants, ce sont les gestes de métier qui confèrent son efficacité à la mise en scène des activités de l'école: «préparer», «prendre» et «faire» la classe, c'est construire un milieu de travail spécifique, organiser le travail des élèves et permettre à ces derniers de se constituer en collectif de travail.

Les compétences développées et mobilisées pour accomplir ces différentes tâches sont pour les enseignants tout comme pour celles de leurs élèves à travers la ritualisation dont elles font l'objet, à proprement parler «incorporées». Et, comme également pour tout professionnel qui, pour faire face à son travail, est contraint de s'engager dans une activité dont la caractéristique communément partagée est qu'elle s'exprime, du moins lorsque l'on a du métier, par les habitudes si répétées, des gestes tellement incorporés, qu'ils n'ont pas besoin d'être pensés.

Ces «gestes professionnels» qu'on peut définir à la fois comme des manières de faire partagées et personnelles, se construisent au fil de la carrière et au croisement de plusieurs histoires: celle de l'institution; du métier; de l'individu; de l'école; de la circonscription……. Par ses gestes, l'enseignant établit des rapports aux prescriptions, à la tâche à réaliser aux autres (collègues, administration, élèves, parents d'élèves………) aux valeurs et à lui-même.

L'ensemble de ces gestes et des outils qu'ils mobilisent définit les techniques du métier d'enseignant. Ces techniques permettent de réaliser les tâches constitutives de ce métier: concevoir des tâches et des dispositifs pertinents aux compétences définies par les programmes; établir un cadre rendant possible le travail collectif et individuel des élèves (organisation du temps et de l'espace, création de repères, des règles de vie et de travail concernant la prise de parole, les déplacements, le rapport aux autres et aux exigences liées au «vivre ensemble» et à «apprendre ensemble»; formuler et faire comprendre des consignes; mettre et maintenir les élèves au travail, réguler ce travail (interventions différenciées en fonction des difficultés, étayage, gestion des alternances entre travail individuel et travail collectif….. ) évaluation et institualisation (décontextualisations progressives visant à permettre aux élèves de passer de ce qu'ils ont fait à ce qu'ils ont appris).

«FAIRE FAIRE» pour «FAIRE APPRENDRE»:

C'est sans doute dans l'organisation du passage de ce que les élèves FONT à ce qu'ils APPRENNENT que réside l'une des difficultés majeures du travail de l'enseignant. En effet, ce que de nombreux travaux considèrent être le but de l'action «enseignementale», à savoir l'apprentissage des élèves, est trop souvent pris «au pied de la lettre» et présenté comme non problématique.

«Le verbe APPRENDRE» mérite bien des guillemets, car l'enfant qui participe à une sorte de géographie culturelle qui soutient et donne forme à ce qu'il est en train de faire, sans laquelle il n'y aurait tout simplement pas d'apprentissage. Cette «géographie culturelle» n'est rien d'autre que le milieu de travail que constitue la classe, et s'inscrit dans une «histoire», celle du collectif d'élèves.

Or, à l'instar de la guérison du patient pour le médecin, l'apprentissage des élèves pour l'enseignant est un but lointain et incertain vers lequel tend son action. Ce but est lointain dans le sens où cet apprentissage ne se fait pas dans l'instant. Il se distribue dans le temps et cette contrainte temporelle est donc à considérer aussi bien du point de vue de l'activité enseignante que du point de vue de celle des élèves. Cet apprentissage n'est pas immédiat non plus dans le sens où l'activité qu'il suscite est systématiquement réalisée grâce à des outils que l'enseignant fait évoluer dans le temps avec les avancées réalisées par les élèves, les significations qu'ils attribuent à leur action.

Dans ce cadre, pour l'enseignant, l'apprentissage des élèves connaît diverses figures selon les moments. Le long terme, celui de l'année par exemple, vise l'acquisition de notions et de compétences qui feront l'objet d'une évaluation; le MOYEN TERME vise l'acquisition de procédés particuliers liés à un domaine de connaissances et le COURT TERME qui concerne la mise en place et la gestion d'une séance avec ses aléas et ses surprises, ses continuités et ses ruptures.

L'activité de l'enseignant en classe consiste donc à organiser un milieu de travail collectif pour instaurer chez les élèves un rapport culturel à un objet de savoir, afin de modifier leur rapport personnel à ce savoir.

L'objet de l'activité «enseignementale» est ici l'organisation collective du milieu-classe, la distribution des tâches aux élèves dans le temps, l'organisation d'un dialogue didactique, la construction du sens du «faire» et du «dire», sa reprise dans l'histoire du «groupe-classe»….etc.

En d'autres termes, l'objet de l'activité de l'enseignant consiste à avoir une «classe qui tourne»; il construit un milieu de travail pour faire agir les élèves: la cohésion du groupe va de pair avec la cohérence des acquisitions. Cette construction renouvelée d'un jour à l'autre ou d'une classe à l'autre se fait au prix de tensions, de conflits qui contraignent l'enseignant à composer avec lui-même.
Dec
16
MIRI MOHAMED
tres bonne ideè la sensibilisation des associations des parents d'elève et les structures cultureles et jeunesse.mais pour arriver a ca d'apres mon experience ,il faut etablir un large programme d'activitès qui compose de:tables ronde en invitons des experts,des expositions,des journèes des tic pour la bonne comunication. des tournois sportifs dans les cartiers pour assurer la participation de la grande masse juvinile. tous ce la ca va nous filtrer une categoris, porte avec-elle ce projet d'education a la citoyennetè sans exclure un bon programme a long therme.
Dec
16
FAROUK AMRANE
bonjour tout le mode

je pense que plusieurs façon de faire sont possible

1/tout d'abord nous devons sortir avec une synthese claire de notre débat (par exemple adopter une déclaration générale par rapport aux points débattu).

2/faire un plan d'action (des action réalisable aussi simple que possible)

jeproposerai par exemple :

1/que chacun de nous soit d'abord membre d'une association (de toute nature sociale environmentale,parents d'éleves...............).

2/créer un réseau sociale (par exemple sur facebook) dont les membres fondateurs seront les participants aux débat et essayer de sensibiliser les gens a la citoyenneté (a travers des publications des rencontres virtuelles des enrigistrement des vidéo montanr des actions citoyennes.............

3/essayer d'organiser dans la mesure du possibles des rencontres en présentiel ou essayer de lancer des actions de formations envers les jeunes les enfants sur la citoyenneté (biensur en collaborations avec les associations qui peuvent nous aider beaucoup.

ce que je propose est une idée générale a affiner et a compléter de votre part
Dec
16
MIRI MOHAMED
اضن ان تفعيل المواطنة و التضامن لدى قسم من الشباب ياتي من من خلال مصداقية السلطة و حسن النية لدى شبابها.و الحرص على نشر ثقافة المواطنة لابد ان يكون توازن في المجتمع في جميع مجالاته السياسية والثقافية والاجتماعية.و ربما عدم اقبال هذه الفئة من السباب لمثل هذه الافعال الاجتماعية. له ما يبرره ولا نلوم هؤلاء لان لكل واحد وجهة نضر تخص به.الجزائريون او الشباب الجزائري ينقصه الكثير.لانه قبل ان يفكر في المواطنة لابد عليه ان يفكر في رغيف خبزه و سقف لعائلته اليس كذالك....شكرا
Dec
16
MIRI MOHAMED
salut

je vous repond:si le pouvoire entame un vrai dialogue avec la masse de jeune et lui prepare une vrai plate forme sur la libertè d'expression a travert tout les cannons mediatique, non seulement etatique,vous allez voir la vrai notion de citoyznntè et solidaritè.parceque les2 son lièe ala societè et son des actes involontaire, incontrolable.

c'est la faute de qui la mauvaise connaissance des droits et devoires des jeunnes pour exercer un simple ,gratuit devoire ce lui de solidaritè et citoytè.peut-etre en prevoit dans l'avenir dans le systeme scolaire un module sur l'education de la citoyenntè.
Dec
15
NADIRA BENKETIRA
Bonsoir

à ce stade du débat ,nous avons partager différents opinion pour comprendre le concept de la citoyenneté et la solidarité ,nous avons aussi discuter de l'imporatance de l'éducation à la citoyenneté pour renforcer le bien etre social et l'action solidaire ,nous avons aussi reflechies sur des stratégies d'action à mettre sur le terain endirection des public cibles les plus sensibles et vulnérables entre autre les enfants et les jeunes ,nous somes arrivé à identifier les acteurs potentiels qui sont en mesure de mener ses actions ainsi que les lieu d'actions ,en priorité les asociations dans les écoles et les tructures de jeunesse ,je vous invite à refléchir suivant vos expériences à comment sensibliser en premier lieu ses structures pour qu'elles ouvrent ses portes àdes projets d'éducation à la citoyenneté
Dec
14
NADIRA BENKETIRA
Bonjour

un grand bravo pour Farouk et merci à vous tous pour ce riche débat plein d'éspoir et de bonne volonté d'aller vers l'avant ,d'aller vers le changement dont on souhaite tous et toutes

je suis convaincue que chacun de nous à une certaine expérience dans le mouvement associative ,capitaliser nos expériences et démultiplier nos actions pourrait etre un bon début, ce ci ne peut etre possible qu'en travaillant en réseau et si il nous ai possible de faire une rencontre en présentiel pour renforcer plus notre stratégie d'action je pense que le premier pas est déjas entrain de se faire
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